Jeand'Ormesson : A la naissance, on monte dans le train et on rencontre nos parents. Et on croit qu’ils voyageront toujours avec nous. Pourtant, à une station, nos parents descendront du train, nous laissant seuls continuer le voyage Au fur et à mesure que le temps passe, d’autres personnes montent dans le train.
Texte de cĂ©rĂ©monie pour s'inspirer ~ Le train de la vie Extrait du livre L’Enfant qui attendait Ă©crit en 2009, Le train de la vie de Jean d’Ormesson est une magnifique mĂ©taphore de la vie. Des mots magnifiques qui nous invitent Ă  aller Ă  l’essentiel, Ă  savourer l’instant prĂ©sent et Ă  exprimer notre gratitude pour les belles personnes qui illuminent nos vies.“A la naissance, on monte dans le train et on rencontre nos on croit qu’ils voyageront toujours avec Ă  une station, nos parents descendront du train,nous laissant seuls continuer le voyage
Au fur et Ă  mesure que le temps passe,d’autres personnes montent dans le ils seront importants notre fratrie, amis, enfants,mĂȘme l’amour de notre dĂ©missionneront mĂȘme l’amour de notre vieet laisseront un vide plus ou moins seront si discretsqu’on ne rĂ©alisera pas qu’ils ont quittĂ© leurs voyage en train sera plein de joies, de peines, d’attentes,de bonjours, d’au-revoir et d’ succĂšs est d’avoir de bonnes relations avec tous les passagerspourvu qu’on donne le meilleur de ne sait pas Ă  quelle station nous vivons heureux, aimons et pardonnons !Il est important de le faire, car lorsque nous descendrons du train,nous devrions ne laisser que des beaux souvenirs a ceux qui continuent leur voyage
Soyons heureux avec ce que nous avons et remercions le ciel de ce voyage merci d’ĂȘtre un des passagers de mon si je dois descendre Ă  la prochaine station,je suis content d’avoir fait un bout de chemin avec vous !Je veux dire Ă  chaque personne qui lira ce texte que je vous remercie d’ĂȘtre dans ma vie et de voyager dans mon train. »
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Ala naissance, on monte dans le train et on rencontre nos parents. Et on croit qu’ils voyageront toujours avec nous. Pourtant, Ă  une station, nos parents descendront du train, nous laissant seuls continuer le voyage Au fur et Ă  mesure que le temps passe, d’autres personnes montent dans le train. Et ils seront importants : notre fratrie, amis, enfants, Livres Zone Critique tenait Ă  rendre hommage Ă  Jean d’Ormesson, Ă  cet homme qui incarnait pour beaucoup une certaine idĂ©e de la littĂ©rature. Sa nonchalance Ă©rudite, son sourire facĂ©tieux et sa voix installĂ©e dans le paysage culturel français vont nous manquer. Cher Jean d’Ormesson, Vous nous aviez prĂ©venus, Un jour je m’en irai sans avoir tout dit ». Et voilĂ  que vous n’ĂȘtes plus. VoilĂ  que vous n’ĂȘtes plus, et que les bras nous en tombent. Vous Ă©tiez mortel, Jean, mais vous Ă©tiez tant la France que nous l’avions oubliĂ©, et nous avions des doutes. Vous Ă©tiez si jeune avec votre tĂȘte chenue. Cher Jean d’Ormesson, vous nous aviez prĂ©venus. Votre dernier livre semblait toujours le dernier c’était lĂ  votre jeu, ou peut-ĂȘtre votre prudence. Une inquiĂ©tude de seigneur, qui ne voulait pas partir sans quelques mots – au revoir et merci ». VoilĂ  votre ultime pied-de-nez. Car vous ĂȘtes insolent, Jean d’Ormesson, et malicieux. Vous ĂȘtes parti sans aucun bruit, par une nuit claire de dĂ©cembre. Comme un jeune homme qui fait le mur pour aller cueillir l’amour. Maintenant, vous riez sĂ»rement de nous, lĂ -haut, avec le Vieux qui joue aux dĂ©s. Vous Ă©tiez mortel, Jean. Mais l’amour est tĂȘtu, et nous n’avons pas cru. Vous aimiez toujours les bains de mer et les femmes, la MĂ©diterranĂ©e et ses torpeurs solaires, les immensitĂ©s de neige et la Suisse au crĂ©puscule. Vous aimiez toutes ces choses, et mille autres choses encore. Nous pensions que lorsqu’un homme aime tant la vie, et se montre aussi douĂ© pour la vie, il ne sait pas mourir. Puis vous Ă©tiez l’esprit français, et l’on connaĂźt les forces de l’esprit, elles ne meurent pas. Oui, Monsieur d’Ormesson, vous pouvez dire que cette vie fut belle vous avez poussĂ© Marguerite Yourcenar et Simone Veil sous la Coupole, vous avez vu le vieux monde qui finit et celui qui n’est pas encore. Vous avez Ă©crit des livres sur les livres, sur les femmes, et sur la mer, sur Dieu, sur votre Ă©tonnement d’ĂȘtre lĂ , et d’avoir une place au soleil. Sur l’existence humaine enfin, qui est extraordinaire. L’étonnement, vous en avez fait votre vertu philosophique, comme Jeanne Hersch, que vous aimiez tellement Ă©patant » Ă©tait votre mot prĂ©fĂ©rĂ©. Mais vous l’étiez, Ă©patant, Monsieur d’Ormesson. Vous Ă©tiez la jeunesse Ă  tous les Ăąges de la vie, vous Ă©tiez la simplicitĂ© malgrĂ© votre excellence, malgrĂ© vos privilĂšges. A une Ă©poque oĂč les privilĂšges sont mis en cause avec tout de violence, je les accumulais sur ma tĂȘte emportĂ©e par le vent ». Vous en souffriez parfois, car trop de privilĂšges engendrent toujours, aux dires des esprits chagrins, une normalitĂ© aux confins de la mĂ©diocritĂ© ». Mais vous preniez de la hauteur, car l’essentiel », aimiez-vous rappeler, c’est de s’en foutre ». Votre mĂšre vous avait donnĂ© trois prĂ©ceptes Ne parle jamais de toi. Ne te fais pas remarquer. RĂ©ponds toujours aux lettres ». Et vous rĂ©pondiez toujours aux lettres, cher Jean. Tout Ă©tait bon pour vous Ă©crire, parmi les jeunes gens de ma gĂ©nĂ©ration vous dire notre admiration, partager nos enthousiasmes, vous demander conseil, parfois un rendez-vous, simplement pour le bonheur de vous rencontrer, joie que nous nous irritions de voir rĂ©servĂ©e aux journalistes. Nous fĂ»mes plus d’un Ă  vous envoyer nos confessions. Ces messages, cachetĂ©s et postĂ©s avec inquiĂ©tude, ont toujours trouvĂ© leur destinataire. Quinze jours aprĂšs, nous recevions votre rĂ©ponse du feutre bleu sur un beau papier blanc, une Ă©criture bienveillante, qui nous souhaitait le meilleur, nous prĂ©venait d’une dĂ©dicace Ă  venir et nous indiquait des lectures, avec la gĂ©nĂ©rositĂ© qui fait toujours les passeurs magnifiques. C’était le temps, le personnage principal de vos romans, plus encore que vous-mĂȘme. Comme tous les hommes qui ont pour eux la modestie et la curiositĂ© des choses inexplicables, vous saviez que l’enfant qui naĂźt est assez vieux dĂ©jĂ  pour mourir. Vous le saviez, mais vous redoutiez ces avertissements, cher Jean d’Ormesson, et vous fuyiez les clepsydres. Pas d’agenda, pas de montre, pas de tĂ©lĂ©phone portable ; pour le gentilhomme que vous Ă©tiez, les vulgaires horaires n’avaient pas force de loi. LĂ©ger, Jean d’Ormesson ? On a fait de vous l’écrivain du bonheur, mais cette gaietĂ© Ă©tait assortie d’une conscience tragique. Trop intelligent, Jean d’O, pour croire que nous Ă©tions dans le meilleur des mondes. La vie Ă©tait Ă  la fois une vallĂ©e de larmes, et une vallĂ©e de roses. Vous avez vĂ©cu pour vos lecteurs enfin, faut-il le rappeler ? Vous auriez pu faire vĂŽtre cette phrase de Camus Un Ă©crivain Ă©crit en grande partie pour ĂȘtre lu ceux qui disent le contraire, admirons-les, mais ne les croyons pas ». Et vous disiez parfois que la plus belle chose qu’on vous ait rapportĂ©e, c’est ce vieil homme qui Ă©tait mort Ă  l’hĂŽpital en serrant votre livre. Car vous Ă©tiez enfin ce formidable passeur, Jean d’Ormesson, et presque un personnage populaire. Qui songerait Ă  vous reprocher votre omniprĂ©sence mĂ©diatique, quand on sait de quoi elle Ă©tait le gage ? Aragon, Yourcenar, Chateaubriand, mais aussi Bernard Frank, Mauriac et Paul-Jean Toulet, sont entrĂ©s dans des millions de mĂ©nages français, parce qu’ils Ă©taient comme vos amis, et nous voulions connaĂźtre vos amis. Adieu, cher Jean vous ĂȘtes immortel, puisque je pense Ă  vous. Adieu Jean d’Ormesson, il faut conclure, et puis se taire » comme dit le vers de Toulet votre disparition – qui est un dĂ©sastre, osons enfin l’écrire – nous dĂ©couvre orphelins, mais orphelins aux mains pleines. C’est peut-ĂȘtre le propre des grands hommes, lorsqu’ils meurent, ils n’emportent pas tout. Vous laissez, Jean, des immensitĂ©s Virgile, Dante, La gloire de l’empire, HomĂšre, L’histoire du juif errant, Goethe et Le Vent du soir. Vous Ă©tiez terrifiĂ© Ă  l’idĂ©e que l’on puisse un jour explorer votre intimitĂ©, et remuer les tiroirs. Rassurez-vous, Jean, la vraie vie, surtout la vĂŽtre, c’est la littĂ©rature. Ayant perdu votre mĂšre, vous Ă©crivez en 1975 un petit texte dans Le Figaro, que vous terminez ainsi Mort oĂč est ta victoire ? Ma mĂšre est vivante puisque l’amour qui nous unit est vivant dans nos cƓurs ». Adieu, cher Jean vous ĂȘtes immortel, puisque je pense Ă  vous. Marion Bet Imprimer cet article Commentaires

Aussi merci d’ĂȘtre un des passagers de mon train. Et si je dois descendre Ă  la prochaine station, je suis content . d’avoir fait un bout de chemin avec vous. Je veux dire Ă  chaque personne . qui lira ce texte que je vous remercie d’ĂȘtre dans ma vie et de voyager dans mon train.” Jean d'Ormesson. Suivi de CrĂ©atures d'habitudes:

La TV m'ennuie. Comme, jadis pour Zorro qui quelle que soit la chaine TV que prenait Henri Salvador, c'Ă©tait toujours Zorro le justicier masquĂ© qui arrivait ... ait... ait, aujourd'hui c'est le ou la Covid qui s'impose avec sa cohorte de mĂ©decins qui plastronnent, s'esbignent, se contredisent, et s'empoignent nous abandonnant pantelants et Ă  demi morts d'ennui. A demi seulement en ce qui concerne le Scrutateur. Dans ma maison on ne baisse jamais le pavillon, tel Athos, le vaillant mousquetaire. Or nous sommes le 31 janvier,Ă  l'orĂ©e de cette nuit de la saint Sylvestre qui laissera place Ă  l'an nouveau 2021. Donc, cher amis, bonne annĂ©e. Pour nourrir quelques minutes de ce jour-ci, j'ai choisi deux textes. Le premier qui date des dĂ©buts de nĂŽtre blog, sous la signature d'un autre mousquetaire Aramis, trĂšs trĂšs liĂ© Ă  Athos, qui assimilait, non sans raisons le politiquement correct Ă  l'ignoble Tartuffe. Mais parlant de lui mĂȘme, lucidement, Aramis, mezzo voce disait oujours qui est sans pĂ©chĂ© » ? Le deuxiĂšme texte m'est adressĂ© par un lecteur adorateur sans limites de Jean d'Ormesson. C'est ce texte idolĂątre que je vous propose en deuxiĂšme lecture. Le Neuillyssois n'est tout de mĂȘme pas JC. Sa lecture est toutefois de bon ton et d'excellent conseiL Le Scrutateur. Et Tartuffe ? Hier soir, coup de fil de Samuel, 22 ans, constant adepte du carpe diem », et cependant brillant Ă©tudiant de science Po Ă  Paris, titulaire d’un Master et bientĂŽt candidat Ă  l’ENA. Nous parlons de choses et d’autres, et notamment des limites de l’enseignement dispensĂ© Ă  l’école des sciences politiques, peut-ĂȘtre un peu trop technique », trop axĂ© sur les moyens aux dĂ©pens des fins de l’action. Pas assez de culture gĂ©nĂ©rale et de philosophie. Samuel en convient, et nous parlons des moyens de pallier Ă  ces insuffisances. Il me parle Ă  cet Ă©gard de sa dĂ©couverte rĂ©cente, Ă  la suite d’une Ă©mission de tĂ©lĂ©vision de l’écrivain Jean d’Ormesson. Il a dans la foulĂ©e fait l’acquisition du dernier livre de l’acadĂ©micien, un recueil de chroniques Odeur du temps, Chroniques du temps qui passe » Ă©ditions HĂ©loĂŻse d’Ormesson. Je suis moi-mĂȘme en train de lire cet ouvrage. Il y a certes du meilleur Jean ». Mais, je l’encourage dans cette voie. Sans ĂȘtre un trĂšs grand penseur, monsieur d’Ormesson est un homme de trĂšs grande culture, pĂ©tillant de malice, dotĂ© de ce qui manque trop souvent Ă  tant d’intellectuels, l’humour, la distance par rapport Ă  soi, une humilitĂ© rĂ©elle, le sens du tragique et de la fragilitĂ© des choses et surtout des ĂȘtres. Nous nous quittons, et j’ouvre mon exemplaire de l’ odeur du temps qui passe ». Je tombe sur le chapitre intitulĂ© Relire tartuffe », tellement d’actualitĂ©. On sait que, dans cette piĂšce, qui valut Ă  son auteur quelques sĂ©rieux ennuis il ne dut son salut qu’à la protection de l’homme Ă©clairĂ© que fut Louis XIV, MoliĂšre s’en prend Ă  l’hypocrisie, plus particuliĂšrement Ă  l’hypocrisie de groupes de pression soi-disant religieux, que symbolise Tartuffe, devenu un nom commun de la langue française. Cette hypocrisie est toujours prĂ©sente dans notre sociĂ©tĂ©. C’est, entre autre le fameux politiquement correct », si redoutable. C’est ce qu’écrit d’Ormesson en conclusion de son chapitre L’époque oĂč vivait MoliĂšre exigeait que les dĂ©vots en ce temps-lĂ  tout puissants, fissent les frais de l’affaire. Mais c’est moins les dĂ©vots que les hypocrites et les imposteurs de toujours que visaient l’audace le talent de l’auteur du Tartuffe. Parce que MoliĂšre est un gĂ©nie de tous les temps, il faut imaginer Tartuffe, de nos jours, en train de se dissimuler, non plus, bien entendu, derriĂšre les valeurs traditionnelles, mais derriĂšre le sacrĂ© d’aujourd’hui la pieuse dĂ©magogie, l’égalitarisme cagot, l’affectation hypocrite d’une passion pour les droits de l’homme. VoilĂ  les vrais hĂ©ritiers de la fausse charitĂ© affichĂ©e de Mgr Hardouin de PĂ©rĂ©fixe, archevĂȘque de Paris, de l’abbĂ© Roquette, bientĂŽt Ă©vĂȘque d’Autun, et de cette Compagnie du Saint-Sacrement, tous gens de poids et de haut rang, de grande rĂ©putation et de conscience ostentatoire- qui Ă©taient les cibles et les ennemis de MoliĂšre ». Bien vu ! Mais nous manquons aujourd’hui, me semble-t-il d’un homme du courage et du gĂ©nie de MoliĂšre. Aramis. Jean d'Ormesson A la naissance, on monte dans le train et on rencontre nos parents. Et on croit qu’ils voyageront toujours avec nous. Pourtant, Ă  une station, nos parents descendront du train, nous laissant seuls continuer le voyage
 Au fur et Ă  mesure que le temps passe, d’autres personnes montent dans le train. Et ils seront importants notre fratrie, amis, enfants, mĂȘme l’amour de notre vie. Beaucoup dĂ©missionneront mĂȘme l’amour de notre vie et laisseront un vide plus ou moins grand. D’autres seront si discrets qu’on ne rĂ©alisera pas qu’ils ont quittĂ© leurs siĂšges. Ce voyage en train sera plein de joies, de peines, d’attentes, de bonjours, d’au-revoir et d’adieux. Le succĂšs est d’avoir de bonnes relations avec tous les passagers pourvu qu’on donne le meilleur de nous-mĂȘmes. On ne sait pas Ă  quelle station nous descendrons. Donc vivons heureux, aimons et pardonnons ! Il est important de le faire, car lorsque nous descendrons du train, nous devrions ne laisser que des beaux souvenirs a ceux qui continuent leur voyage
 Soyons heureux avec ce que nous avons et remercions le ciel de ce voyage fantastique. Aussi, merci d’ĂȘtre un des passagers de mon train. Et si je dois descendre Ă  la prochaine station, je suis content d’avoir fait un bout de chemin avec vous ! Je veux dire Ă  chaque personne qui lira ce texte que je vous remercie d’ĂȘtre dans ma vie et de voyager dans mon train. » Jean D’Ormesson Ily a 4 annĂ©es Le 21/11/2016 Ă  06:18. Ormesson vieux malin,donne toujours des leçons de vie a tous - Facile quand on a un bon portefeuille et qu'on sait pas se que c'est que se lever tous les
01 lundi Nov 2021 La Toussaint, fĂȘte de joie pour les chrĂ©tiensĂ  la veille du Jour des DĂ©funts. Fra Angelico – 1423-1424 Partageons ce poĂšme de Jean D’Ormesson A la naissance, on monte dans le train et on rencontre nos on croit qu’ils voyageront toujours avec Ă  une station, nos parents descendront du train,nous laissant seuls continuer le voyage
Au fur et Ă  mesure que le temps passe,d’autres personnes montent dans le train. Et ils seront importants notre fratrie, amis, enfants,mĂȘme l’amour de notre dĂ©missionneront mĂȘme l’amour de notre vieet laisseront un vide plus ou moins seront si discretsqu’on ne rĂ©alisera pas qu’ils ont quittĂ© leurs voyage en train sera plein de joies, de peines, d’attentes,de bonjours, d’au-revoir et d’ succĂšs est d’avoir de bonnes relations avec tous les passagerspourvu qu’on donne le meilleur de ne sait pas Ă  quelle station nous vivons heureux, aimons et pardonnons !Il est important de le faire, car lorsque nous descendrons du train,nous devrions ne laisser que des beaux souvenirs Ă  ceux qui continuent leur voyage
Soyons heureux avec ce que nous avons et remercions le ciel de ce voyage merci d’ĂȘtre un des passagers de mon si je dois descendre Ă  la prochaine station,je suis content d’avoir fait un bout de chemin avec vous !Je veux dire Ă  chaque personne qui lira ce texte que je vous remercie d’ĂȘtre dans ma vie et de voyager dans mon train. »

Letrain de la vie Les bulles d'amour / je suis content d’avoir fait un bout de chemin avec vous. » Jean d’Ormesson. 3. Navigation de l’article. ← Article prĂ©cĂ©dent. Article suivant →. chapitre_b "Ti amo Redis-moi ti amo Garde-moi, ti amo MĂȘme “L’amour rend aveugle. L’amour doit rendre a

Extrait du livre L’Enfant qui attendait Ă©crit en 2009, Le train de la vie de Jean d’Ormesson est une magnifique mĂ©taphore de la vie. Le train de la vie – Jean d’Ormesson À la naissance, on monte dans le train et on rencontre nos parents. Et on croit qu’ils voyageront toujours avec nous. Pourtant, Ă  une station, nos parents descendront du train, nous laissant seuls continuer le voyage
 Au fur et Ă  mesure que le temps passe, d’autres personnes montent dans le train. Et elles seront importantes notre fratrie, nos amis, nos enfants, mĂȘme l’amour de notre vie. Beaucoup dĂ©missionneront mĂȘme Ă©ventuellement l’amour de notre vie, et laisseront un vide plus ou moins grand. D’autres seront si discrets qu’on ne rĂ©alisera pas qu’ils ont quittĂ© leurs siĂšges. Ce voyage en train sera plein de joies, de peines, d’attentes, de bonjours, d’au-revoirs et d’adieux. Le succĂšs est d’avoir de bonnes relations avec tous les passagers pourvu qu’on donne le meilleur de nous-mĂȘmes. On ne sait pas Ă  quelle station nous descendrons, donc vivons heureux, aimons et pardonnons. Il est important de le faire car lorsque nous descendrons du train, nous ne devrons laisser que de beaux souvenirs Ă  ceux qui continueront leur voyage. Soyons heureux avec ce que nous avons et remercions le ciel de ce voyage fantastique. Aussi, merci d’ĂȘtre un des passagers de mon train. Et si je dois descendre Ă  la prochaine station, je suis content d’avoir fait un bout de chemin avec vous. Pourquoi choisir ce texte pour une cĂ©rĂ©monie laĂŻque de mariage ? Ce texte puissant et inspirant insiste sur le sens Ă  donner aux rencontres que la vie met sur notre chemin. Ode au souvenir, il constitue un bel hommage de gratitude aux personnes qui entrent dans notre vie, que ce soit juste pour faire un bout de chemin ensemble ou y rester longtemps. Ce texte de cĂ©rĂ©monie laĂŻque sera parfait si vous avez dĂ» mal Ă  poser vous-mĂȘme vos mots dans un tĂ©moignage personnel aux mariĂ©s qui illuminent votre vie. Votre cĂ©rĂ©monie laĂŻque mĂ©rite d’ĂȘtre aussi magique que votre histoire d’Amour
ŰȘŰ±ŰŹÙ…Ű©'Le train de ma vie' Ù„Ù„ÙÙ†Ű§Ù† Jean d'Ormesson من Ű§Ù„ÙŰ±Ù†ŰłÙŠŰ© Ű„Ù„Ù‰Ű§Ù„ÙŰȘÙ†Ű§Ù…ÙŠŰ© Deutsch English Español Français Hungarian Italiano Nederlands Polski PortuguĂȘs (Brasil) RomĂąnă Svenska TĂŒrkçe ΕλληΜÎčÎșÎŹ БългарсĐșĐž РуссĐșĐžĐč СрпсĐșĐž Ű§Ù„ŰčŰ±ŰšÙŠŰ© ÙŰ§Ű±ŰłÛŒ æ—„æœŹèȘž 한ꔭ얎
À la naissance, on monte dans le train et on rencontre nos parents. Et on croit qu’ils voyageront toujours avec nous. Pourtant, Ă  une station, nos parents descendront du train, nous laissant seuls continuer le voyage
 Au fur et Ă  mesure que le temps passe, d’autres personnes montent dans le train. Et elles seront importantes notre fratrie, nos amis, nos enfants, mĂȘme l’amour de notre vie. Beaucoup dĂ©missionneront mĂȘme Ă©ventuellement l’amour de notre vie, et laisseront un vide plus ou moins grand. D’autres seront si discrets qu’on ne rĂ©alisera pas qu’ils ont quittĂ© leurs siĂšges. Ce voyage en train sera plein de joies, de peines, d’attentes, de bonjours, d’au-revoirs et d’adieux. Le succĂšs est d’avoir de bonnes relations avec tous les passagers pourvu qu’on donne le meilleur de nous-mĂȘmes. On ne sait pas Ă  quelle station nous descendrons, donc vivons heureux, aimons et pardonnons. Il est important de le faire car lorsque nous descendrons du train, nous ne devrons laisser que de beaux souvenirs Ă  ceux qui continueront leur voyage. Soyons heureux avec ce que nous avons et remercions le ciel de ce voyage fantastique. Aussi, merci d’ĂȘtre un des passagers de mon train. Et si je dois descendre Ă  la prochaine station, je suis content d’avoir fait un bout de chemin avec vous. . 655 19 288 732 287 383 716 356

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