Texte de cĂ©rĂ©monie pour s'inspirer ~ Le train de la vie Extrait du livre LâEnfant qui attendait Ă©crit en 2009, Le train de la vie de Jean dâOrmesson est une magnifique mĂ©taphore de la vie. Des mots magnifiques qui nous invitent Ă aller Ă lâessentiel, Ă savourer lâinstant prĂ©sent et Ă exprimer notre gratitude pour les belles personnes qui illuminent nos vies.âA la naissance, on monte dans le train et on rencontre nos on croit quâils voyageront toujours avec Ă une station, nos parents descendront du train,nous laissant seuls continuer le voyageâŠAu fur et Ă mesure que le temps passe,dâautres personnes montent dans le ils seront importants notre fratrie, amis, enfants,mĂȘme lâamour de notre dĂ©missionneront mĂȘme lâamour de notre vieet laisseront un vide plus ou moins seront si discretsquâon ne rĂ©alisera pas quâils ont quittĂ© leurs voyage en train sera plein de joies, de peines, dâattentes,de bonjours, dâau-revoir et dâ succĂšs est dâavoir de bonnes relations avec tous les passagerspourvu quâon donne le meilleur de ne sait pas Ă quelle station nous vivons heureux, aimons et pardonnons !Il est important de le faire, car lorsque nous descendrons du train,nous devrions ne laisser que des beaux souvenirs a ceux qui continuent leur voyageâŠSoyons heureux avec ce que nous avons et remercions le ciel de ce voyage merci dâĂȘtre un des passagers de mon si je dois descendre Ă la prochaine station,je suis content dâavoir fait un bout de chemin avec vous !Je veux dire Ă chaque personne qui lira ce texte que je vous remercie dâĂȘtre dans ma vie et de voyager dans mon train. »
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Aussi merci dâĂȘtre un des passagers de mon train. Et si je dois descendre Ă la prochaine station, je suis content . dâavoir fait un bout de chemin avec vous. Je veux dire Ă chaque personne . qui lira ce texte que je vous remercie dâĂȘtre dans ma vie et de voyager dans mon train.â Jean d'Ormesson. Suivi de CrĂ©atures d'habitudes:
La TV m'ennuie. Comme, jadis pour Zorro qui quelle que soit la chaine TV que prenait Henri Salvador, c'Ă©tait toujours Zorro le justicier masquĂ© qui arrivait ... ait... ait, aujourd'hui c'est le ou la Covid qui s'impose avec sa cohorte de mĂ©decins qui plastronnent, s'esbignent, se contredisent, et s'empoignent nous abandonnant pantelants et Ă demi morts d'ennui. A demi seulement en ce qui concerne le Scrutateur. Dans ma maison on ne baisse jamais le pavillon, tel Athos, le vaillant mousquetaire. Or nous sommes le 31 janvier,Ă l'orĂ©e de cette nuit de la saint Sylvestre qui laissera place Ă l'an nouveau 2021. Donc, cher amis, bonne annĂ©e. Pour nourrir quelques minutes de ce jour-ci, j'ai choisi deux textes. Le premier qui date des dĂ©buts de nĂŽtre blog, sous la signature d'un autre mousquetaire Aramis, trĂšs trĂšs liĂ© Ă Athos, qui assimilait, non sans raisons le politiquement correct Ă l'ignoble Tartuffe. Mais parlant de lui mĂȘme, lucidement, Aramis, mezzo voce disait oujours qui est sans pĂ©chĂ© » ? Le deuxiĂšme texte m'est adressĂ© par un lecteur adorateur sans limites de Jean d'Ormesson. C'est ce texte idolĂątre que je vous propose en deuxiĂšme lecture. Le Neuillyssois n'est tout de mĂȘme pas JC. Sa lecture est toutefois de bon ton et d'excellent conseiL Le Scrutateur. Et Tartuffe ? Hier soir, coup de fil de Samuel, 22 ans, constant adepte du carpe diem », et cependant brillant Ă©tudiant de science Po Ă Paris, titulaire dâun Master et bientĂŽt candidat Ă lâENA. Nous parlons de choses et dâautres, et notamment des limites de lâenseignement dispensĂ© Ă lâĂ©cole des sciences politiques, peut-ĂȘtre un peu trop technique », trop axĂ© sur les moyens aux dĂ©pens des fins de lâaction. Pas assez de culture gĂ©nĂ©rale et de philosophie. Samuel en convient, et nous parlons des moyens de pallier Ă ces insuffisances. Il me parle Ă cet Ă©gard de sa dĂ©couverte rĂ©cente, Ă la suite dâune Ă©mission de tĂ©lĂ©vision de lâĂ©crivain Jean dâOrmesson. Il a dans la foulĂ©e fait lâacquisition du dernier livre de lâacadĂ©micien, un recueil de chroniques Odeur du temps, Chroniques du temps qui passe » Ă©ditions HĂ©loĂŻse dâOrmesson. Je suis moi-mĂȘme en train de lire cet ouvrage. Il y a certes du meilleur Jean ». Mais, je lâencourage dans cette voie. Sans ĂȘtre un trĂšs grand penseur, monsieur dâOrmesson est un homme de trĂšs grande culture, pĂ©tillant de malice, dotĂ© de ce qui manque trop souvent Ă tant dâintellectuels, lâhumour, la distance par rapport Ă soi, une humilitĂ© rĂ©elle, le sens du tragique et de la fragilitĂ© des choses et surtout des ĂȘtres. Nous nous quittons, et jâouvre mon exemplaire de lâ odeur du temps qui passe ». Je tombe sur le chapitre intitulĂ© Relire tartuffe », tellement dâactualitĂ©. On sait que, dans cette piĂšce, qui valut Ă son auteur quelques sĂ©rieux ennuis il ne dut son salut quâĂ la protection de lâhomme Ă©clairĂ© que fut Louis XIV, MoliĂšre sâen prend Ă lâhypocrisie, plus particuliĂšrement Ă lâhypocrisie de groupes de pression soi-disant religieux, que symbolise Tartuffe, devenu un nom commun de la langue française. Cette hypocrisie est toujours prĂ©sente dans notre sociĂ©tĂ©. Câest, entre autre le fameux politiquement correct », si redoutable. Câest ce quâĂ©crit dâOrmesson en conclusion de son chapitre LâĂ©poque oĂč vivait MoliĂšre exigeait que les dĂ©vots en ce temps-lĂ tout puissants, fissent les frais de lâaffaire. Mais câest moins les dĂ©vots que les hypocrites et les imposteurs de toujours que visaient lâaudace le talent de lâauteur du Tartuffe. Parce que MoliĂšre est un gĂ©nie de tous les temps, il faut imaginer Tartuffe, de nos jours, en train de se dissimuler, non plus, bien entendu, derriĂšre les valeurs traditionnelles, mais derriĂšre le sacrĂ© dâaujourdâhui la pieuse dĂ©magogie, lâĂ©galitarisme cagot, lâaffectation hypocrite dâune passion pour les droits de lâhomme. VoilĂ les vrais hĂ©ritiers de la fausse charitĂ© affichĂ©e de Mgr Hardouin de PĂ©rĂ©fixe, archevĂȘque de Paris, de lâabbĂ© Roquette, bientĂŽt Ă©vĂȘque dâAutun, et de cette Compagnie du Saint-Sacrement, tous gens de poids et de haut rang, de grande rĂ©putation et de conscience ostentatoire- qui Ă©taient les cibles et les ennemis de MoliĂšre ». Bien vu ! Mais nous manquons aujourdâhui, me semble-t-il dâun homme du courage et du gĂ©nie de MoliĂšre. Aramis. Jean d'Ormesson A la naissance, on monte dans le train et on rencontre nos parents. Et on croit quâils voyageront toujours avec nous. Pourtant, Ă une station, nos parents descendront du train, nous laissant seuls continuer le voyage⊠Au fur et Ă mesure que le temps passe, dâautres personnes montent dans le train. Et ils seront importants notre fratrie, amis, enfants, mĂȘme lâamour de notre vie. Beaucoup dĂ©missionneront mĂȘme lâamour de notre vie et laisseront un vide plus ou moins grand. Dâautres seront si discrets quâon ne rĂ©alisera pas quâils ont quittĂ© leurs siĂšges. Ce voyage en train sera plein de joies, de peines, dâattentes, de bonjours, dâau-revoir et dâadieux. Le succĂšs est dâavoir de bonnes relations avec tous les passagers pourvu quâon donne le meilleur de nous-mĂȘmes. On ne sait pas Ă quelle station nous descendrons. Donc vivons heureux, aimons et pardonnons ! Il est important de le faire, car lorsque nous descendrons du train, nous devrions ne laisser que des beaux souvenirs a ceux qui continuent leur voyage⊠Soyons heureux avec ce que nous avons et remercions le ciel de ce voyage fantastique. Aussi, merci dâĂȘtre un des passagers de mon train. Et si je dois descendre Ă la prochaine station, je suis content dâavoir fait un bout de chemin avec vous ! Je veux dire Ă chaque personne qui lira ce texte que je vous remercie dâĂȘtre dans ma vie et de voyager dans mon train. » Jean DâOrmesson Ily a 4 annĂ©es Le 21/11/2016 Ă 06:18. Ormesson vieux malin,donne toujours des leçons de vie a tous - Facile quand on a un bon portefeuille et qu'on sait pas se que c'est que se lever tous les01 lundi Nov 2021 La Toussaint, fĂȘte de joie pour les chrĂ©tiensĂ la veille du Jour des DĂ©funts. Fra Angelico â 1423-1424 Partageons ce poĂšme de Jean DâOrmesson A la naissance, on monte dans le train et on rencontre nos on croit quâils voyageront toujours avec Ă une station, nos parents descendront du train,nous laissant seuls continuer le voyageâŠAu fur et Ă mesure que le temps passe,dâautres personnes montent dans le train. Et ils seront importants notre fratrie, amis, enfants,mĂȘme lâamour de notre dĂ©missionneront mĂȘme lâamour de notre vieet laisseront un vide plus ou moins seront si discretsquâon ne rĂ©alisera pas quâils ont quittĂ© leurs voyage en train sera plein de joies, de peines, dâattentes,de bonjours, dâau-revoir et dâ succĂšs est dâavoir de bonnes relations avec tous les passagerspourvu quâon donne le meilleur de ne sait pas Ă quelle station nous vivons heureux, aimons et pardonnons !Il est important de le faire, car lorsque nous descendrons du train,nous devrions ne laisser que des beaux souvenirs Ă ceux qui continuent leur voyageâŠSoyons heureux avec ce que nous avons et remercions le ciel de ce voyage merci dâĂȘtre un des passagers de mon si je dois descendre Ă la prochaine station,je suis content dâavoir fait un bout de chemin avec vous !Je veux dire Ă chaque personne qui lira ce texte que je vous remercie dâĂȘtre dans ma vie et de voyager dans mon train. »
Letrain de la vie Les bulles d'amour / je suis content dâavoir fait un bout de chemin avec vous. » Jean dâOrmesson. 3. Navigation de lâarticle. â Article prĂ©cĂ©dent. Article suivant â. chapitre_b "Ti amo Redis-moi ti amo Garde-moi, ti amo MĂȘme âLâamour rend aveugle. Lâamour doit rendre a
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Ă la naissance, on monte dans le train et on rencontre nos parents. Et on croit quâils voyageront toujours avec nous. Pourtant, Ă une station, nos parents descendront du train, nous laissant seuls continuer le voyage⊠Au fur et Ă mesure que le temps passe, dâautres personnes montent dans le train. Et elles seront importantes notre fratrie, nos amis, nos enfants, mĂȘme lâamour de notre vie. Beaucoup dĂ©missionneront mĂȘme Ă©ventuellement lâamour de notre vie, et laisseront un vide plus ou moins grand. Dâautres seront si discrets quâon ne rĂ©alisera pas quâils ont quittĂ© leurs siĂšges. Ce voyage en train sera plein de joies, de peines, dâattentes, de bonjours, dâau-revoirs et dâadieux. Le succĂšs est dâavoir de bonnes relations avec tous les passagers pourvu quâon donne le meilleur de nous-mĂȘmes. On ne sait pas Ă quelle station nous descendrons, donc vivons heureux, aimons et pardonnons. Il est important de le faire car lorsque nous descendrons du train, nous ne devrons laisser que de beaux souvenirs Ă ceux qui continueront leur voyage. Soyons heureux avec ce que nous avons et remercions le ciel de ce voyage fantastique. Aussi, merci dâĂȘtre un des passagers de mon train. Et si je dois descendre Ă la prochaine station, je suis content dâavoir fait un bout de chemin avec vous.
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