Incipit: Au pays du Berry, quand une fillette. Note(s) : Couv. ill. Gerlier. Cotage EAS4898bis. Identifiant de la notice : ark:/12148/cb39716658f. Notice n° : FRBNF39716658 Cette notice
Les Ă©pouseux du Berry Edmond Lhuillier Edmond Lhuillier 1856 - Ecoutez la musique Votre navigateur ne supporte pas la balise AUDIO. Lecture mp3 Votre navigateur ne supporte pas la balise AUDIO. Lina Margy Votre navigateur ne supporte pas la balise AUDIO. Henri Laverne Au pays du Berry, Quand une filletteA fixĂ© son choix oui dĂ , Sur un Ă©pouseuxLes parents, les amis en habits de fĂȘteViennent prĂ©cĂ©dĂ©s, oui dĂ , D'un cornemuseux,Oh! eh ! oh ! eh ! Et l'on donne Ă la fillette Un Mai garni de rubansOh! eh! oh! eh ! Que l'on plante devant sa porte Comme emblĂš-Ăš-me des galantsAh ! Et tour Ă tour, Au son de la cornemuse L'on rit, l'on s'amu-u-se, L'on danse jusqu'au jour !Et tour Ă tour, Au son de la cornemuseL'on rit, l'on s'amu-u-se, L'on dan-anse jusqu'au jour !Tra la la la la la la la la la la la la la lala la la la - Le plus vieux du pays Offre Ă la fillette Quenouille de lin, oui da Et de chanvre fin ! Puis un autre, un louis d'or Pour faire l'emplette D'un beau tablier, oui da Et d'un casaquin. Oh eh oh eh, Puis un autre la couronne Et le bouquet d'oranger Oh eh oh eh Enfin l'Ă©pouseux lui donne L'anneau qui doit l'engager. Au refrain Devant tous, l'Ă©pouseux Dit Ă la fillette "Voulez-vous de moi, oui da Pour votre mari RĂ©pondez par un mot ?" Et baissant la tĂȘte La fillette tout bas, oui da RĂ©pond par un Oh eh oh eh, Et les parents de la fille Disent alors au garçon Oh eh oh eh Vous ĂȘtes de la famille Embrassez vous sans façon ! Dernier refrain Ah ! Et jusqu'au jour L'Ă©pouseux et l'Ă©pousĂ©e Avec chacun tour Ă tour Dan-an-sent la bourrĂ©e Et tour Ă tour Au son de la cornemuse Chansons et bourrĂ©-Ă©-e Durent du-u-rent jusqu'au jour ! Cette chanson existe sur les CD suivants Noces d'Or Les annĂ©es folles 1920-1930 .. .Conan dit MĂ©riadec ou Caradog, est un personnage semi-lĂ©gendaire de Bretagne que l'on fait naĂźtre en Grande-Bretagne Ă la fin du IV e siĂšcle. Il serait passĂ© dans les Gaules vers 384, avec le tyran Maxime, dont il aurait servi les intĂ©rĂȘts. Il aurait Ă©tĂ© créé duc d'Armorique et aurait gouvernĂ© pendant 26 ans, sous la dĂ©pendance des Romains, la partie de l'Armorique connue depuis
Bonjour rosemar. On pourrait ĂȘtre mĂ©disant, en disant Vu, queue, Le Lucie Fait Rien, par intĂ©rim, chez nous, a colportĂ© son propre environnement, avec lui....Mais bon.... Certains y verraient une malĂ©diction, et mĂȘme, que nous la mĂ©ritons, puisque réélu ! Il existe des grĂąces, mais lâexcellence vient dâen haut, et si je vous parle de grĂące, je parle donc, de ce que nous mĂ©ritons pas, tels que nous sommes Le tour des inCONgruitĂ©s, qui foutent le feu Ă cette sociĂ©tĂ©...... DĂ©faillance Ă©conomique Pas les moyens matĂ©riels et humains disponibles, pour y faire face. Mais nous avons des canons Ă offrir, et pas Ă eau DĂ©faillance morale Faire venir des pompiers europĂ©ens, alors que des milliers de pompiers volontaires ou pas, en France, sont exclus, parce que non vaccinĂ©s », juste pour que la fiertĂ© de nos dĂ©cideurs, en planque dâune bonne idĂ©e, ne soit pas rongĂ©e par leurs travers. DĂ©faillance prĂ©visionnelle Ex Dans les Vosges, des massifs entiers de sapins, plantĂ©s sur des terres autrefois agricoles, que les usines de tissage, ont rendus Ă©conomiquement inutiles, Et toutes ces terres, ont Ă©tĂ© plantĂ©es de rĂ©sineux, serrĂ©s, compactĂ©s, jusquâĂ proximitĂ© immĂ©diate des villages. Plantations qui se contaminent, et se dessĂ©chent Ă vitesse grand V. Mais bon, voyez vous, nous avons des services dâordres » qui veillent Ă ce que les magasins aient les portes fermĂ©es, si climatisation en marche. Les mĂȘmes, voyez vous, qui CONseillaient, dâouvrir les fenĂȘtres, toutes les heures en plein hiver, en pleine pĂ©riode de chauffage VoilĂ , lâimage balancier de cette classe pipolitique, qui ne fait que surfer, sur la vague de lâinstant T, Parce que, franchement, qui peut croire, que demain, nous appartient encore ? Et surtout, rosemar, croyez vous quâils aient la main mise, et la volontĂ©, dây apporter une quelconque amĂ©lioration ? Vous tracassez pas....Arrive le temps des coulĂ©es de boues, et autres damnations, qui imposeront la visite sur place » dâun membre dĂ©sarticulĂ© de cet enfer et damnation rĂ©gnant.... La juste place, pour prouver, la totale dĂ©ficience de la TorquĂ©armada, Lucie Fait Rien !
RichardBerry, 71 ans, nie en bloc, tout comme l'ancienne chanteuse Jeane Manson, qui vit une partie de l'annĂ©e Ă Aurillac, oĂč elle avait dĂ©cidĂ© de poursuivre son ex-belle fille en diffamation.
Ici, les rebouteux soignent hommes ou bĂȘtes, les mĂ©diums discutent avec George Sand et pratiquent des dĂ©senvoĂ»tements. Reportage dans un pays nourri de culture sorciĂšre. Maintenant, je devine aisĂ©ment l'arrivĂ©e et l'identitĂ© de mes interlocuteurs. Un dĂ©funt, je suis remplie de froid. Un ange, c'est chaleur et Ă©nergie. » Non, vous ne rĂȘvez pas. C'est Nicole Dhuin, ex-ingĂ©nieur gĂ©ologue qui parle, de sa voix douce et calme. Et sans chercher Ă convaincre, juste pour tĂ©moigner. En recommandant de ne pas la rendre trop ridicule. Pas un jour oĂč je ne reçoive un coup de fil pour dĂ©senvoĂ»tement ! Des paysans pour leurs cultures ou leur bĂ©tail ; des villageois pour leur fils ou leur fille. On croyait ces pratiques dĂ©passĂ©es. Vu les demandes que j'ai, je peux vous dire qu'elles reviennent au galop, ou n'ont jamais cessĂ©... » LĂ , c'est Patricia DarrĂ©, trĂšs active journaliste Ă France Bleu Berry Sud et mĂ©dium non moins brillante. Ou encore AndrĂ© Brunaud, nĂ©gociant en grains Ă la retraite J'avais une tante qui guĂ©rissait les brĂ»lures et les piqĂ»res. Mais pendant la guerre, c'Ă©tait loin d'aller Ă vĂ©lo chez elle faire soigner le moindre bobo ! Je lui ai demandĂ© de me passer son don. Ăa a marchĂ©. Sur les hommes comme sur les animaux. A condition d'intervenir vite. Je touche alors lĂ©gĂšrement la zone atteinte, je prononce une formule pendant deux minutes, le soulagement vient quelques heures plus tard. Comment et pourquoi ? Je n'ai jamais cherchĂ© Ă savoir. Peut-ĂȘtre une relation d'inconscient Ă inconscient ? J'ai moi-mĂȘme transmis ce don Ă mon fils, et je ne veux pas en faire rĂ©clame. J'aime bien aider, Ă©videmment bĂ©nĂ©volement, mais j'aime aussi rester tranquille... » Les druides avaient dĂ©jĂ choisi la rĂ©gion pour en faire le centre sacrĂ© des Gaules. Quel est donc ce pays oĂč l'on commerce avec les anges et les dĂ©funts ? OĂč l'on envoĂ»te et communĂ©ment dĂ©senvoĂ»te ? OĂč nombre de mĂ©decins incitent en sous-main Ă faire soigner son zona chez le guĂ©risseur du coin ? Pourquoi tant d'esprits errants dans cette campagne apparemment si banale et pourtant si secrĂšte ? Qu'elle soit ondulĂ©e de collines ou soudain plate et rongĂ©e d'Ă©tangs ; assombrie de forĂȘts touffues ou percĂ©e au plus intime d'une noire riviĂšre, la Creuse, si bien nommĂ©e. A l'aube, des brumes Ă©paisses et blanches couvrent le paysage ; au crĂ©puscule, des nuĂ©es de chauves souris y Ă©tendent leur royaume et les serpents, le jour durant, hantent les chemins. On dit qu'autrefois, un peu plus au nord, du cĂŽtĂ© de Bourges, les druides avaient dĂ©jĂ choisi la rĂ©gion pour en faire le centre sacrĂ© des Gaules. La densitĂ© vibratoire du sol y serait plus puissante qu'ailleurs, et plus sensibles les courants telluriques qui le traversent. Le Berry ] royaume de l'Ours », selon les origines celtes du mot â serait une terre forte et lourde, Ă l'Ă©nergie souterraine qui happe. Rien d'Ă©tonnant Ă ce que la trĂšs sensitive et prolifique George Sand 1804-1876, Ă©levĂ©e chez sa grand-mĂšre Ă Nohant, y soit restĂ©e sa vie entiĂšre attachĂ©e, y invitant ses amis Chopin, Flaubert, Delacroix, Dumas... â eux aussi amoureux de l'endroit â, et puisant, dans la demeure natale oĂč elle mourra, l'Ă©nergie de bien des livres et rĂ©flexions politiques, historiques, fĂ©ministes, thĂ©osophiques. De La Mare au diable 1846 Ă La Petite Fadette 1849 et aux MaĂźtres sonneurs 1853, George Sand n'a cessĂ© en effet de cĂ©lĂ©brer une modeste mais fascinante campagne oĂč le merveilleux, sans fin, le dispute Ă la magie. Sa petite-fille Aurore Sand, que j'ai bien connue, Ă©tait une grande mĂ©dium, qui avait mĂȘme aidĂ© la police Ă retrouver un criminel grĂące Ă son pendule, se rappelle Christiane Sand, descendante de la romanciĂšre. Mais elle n'a jamais voulu me dire si son aĂŻeule avait fait tourner les tables Ă Nohant "Ces choses-lĂ doivent ĂȘtre secrĂštes, disait-elle, sinon elles ne se rĂ©pĂštent pas." » Christiane Sand, elle-mĂȘme, reste discrĂšte - pour Ă©viter, dit-elle, les traditionnelles moqueries â sur la maniĂšre dont George Sand en personne lui aurait communiquĂ© sa colĂšre face au rĂ©amĂ©nagement Ă la française d'un parc de Nohant imaginĂ© par elle Ă l'anglaise ». Du coup, j'ai fait du scandale, alertĂ© les Monuments historiques, et on m'a Ă©coutĂ©e. George m'a dit oĂč mettre les fleurs, la paysagiste a obĂ©i. » âSans service mĂ©dical, isolĂ© de tout, on s'est mis peu Ă peu Ă pratiquer la mĂ©decine du pauvre.â C'est au XIXe siĂšcle, selon l'historien et Ă©crivain GĂ©rard Coulon, que le Berry s'est dĂ©couvert une culture sorciĂšre. Quand les paysans commencent Ă quitter les campagnes et Ă Ă©migrer vers la ville ; quand le pays dĂ©sertĂ©, appauvri se voit livrĂ© Ă l'abandon. Les communautĂ©s villageoises Ă©taient bien obligĂ©es de se prendre en charge et de se dĂ©brouiller seules, explique-t-il. Sans service mĂ©dical, isolĂ© de tout, on s'est mis peu Ă peu Ă pratiquer la mĂ©decine du pauvre. Dans chaque village, il y avait un guĂ©risseur ou un rebouteux ; et dans de nombreuses familles, il n'Ă©tait pas rare qu'un parent sache "barrer" un certain type de mal problĂšmes de peau, brĂ»lures, piqĂ»res en tout genre. Ma propre mĂšre soignait les dartres. Et mĂȘme si je suis totalement sceptique, je l'ai vue rĂ©ussir en effleurant l'endroit malade avec une Ă©pingle rouillĂ©e et en rĂ©citant cinq jours durant des priĂšres Ă la Vierge. » Dans les annĂ©es 1960-1970, nombre de conteurs rĂ©gionaux, Ă la façon de Jean-Louis BoncĆur, grand collectionneur d'objets magiques et lui-mĂȘme un bout sorcier », comme on dit ici, ont colportĂ© ces histoires fantastiques, fiers peut-ĂȘtre de redonner Ă une rĂ©gion de plus en plus dĂ©shĂ©ritĂ©e l'originalitĂ©, les pouvoirs aussi, qu'elle Ă©tait en train de perdre. Et voilĂ qu'en 1973 sort avec succĂšs chez Robert Laffont L'Ćil du sorcier... Une histoire d'envoĂ»tement, aujourd'hui en France, de Philippe Alfonsi et Patrick Pesnot, ou l'incroyable liste des mauvais sorts jetĂ©s Ă un riche vĂ©tĂ©rinaire et Ă son innocent troupeau de moutons, Ă la frontiĂšre de l'Indre et du Cher. La lĂ©gende du Berry Ă©tait faite, sur laquelle mĂȘme les publicitĂ©s institutionnelles continuent de jouer Ă plaisir il n'est que d'entendre vanter avec gourmandise les magies » du Berry sur France Inter. Mais ces magies-lĂ sont devenues du folklore, sourit GĂ©rard Coulon. Restent juste nos nombreux calvaires aux carrefours de routes, oĂč l'on dit que les sorciĂšres avaient coutume de se rassembler. C'est pour les exorciser qu'on a installĂ© des crucifix. Sinon, et depuis longtemps, je n'ai vu ni chouette clouĂ©e sur les granges, ni corbeaux morts ou plumes dĂ©posĂ©s devant les maisons, ni cadavres de hĂ©rissons dans des pochons, ou mystĂ©rieux petits paquets ficelĂ©s - Ă ne surtout pas ouvrir ! - sur les grands chemins... » âTout le monde peut communiquer avec l'invisible. Nos pensĂ©es peuvent tout.â Nicole Dhuin ne croyait plus Ă grand-chose, elle non plus, quand les anges ont dĂ©boulĂ© dans sa vie. L'ont instituĂ©e leur secrĂ©taire ». Et poussĂ©e Ă ouvrir le centre d'accueil et d'Ă©tudes baptisĂ© Mexico en Berry. A cette ingĂ©nieur gĂ©ologue devenue dynamique commerçante et chef d'entreprise Ă ChĂąteauroux avant de prendre sa retraite, il a fallu plusieurs annĂ©es d'enquĂȘte, de recherche, une maladie mĂȘme â trop d'angoisse et de doute me rongeaient, explique-t-elle â pour qu'elle accepte ses dons de mĂ©dium ; soit d'intermĂ©diaire privilĂ©giĂ©e entre monde visible et invisible. A partir de 1995, une pensĂ©e impĂ©rieuse â prĂ©cĂ©dĂ©e d'une intense chaleur, dit-elle encore â la rĂ©veille Ă n'importe quelle heure de la nuit, l'incite Ă se lever et Ă prendre note de ce qui lui est dictĂ©. D'abord je me suis rebellĂ©e. Je ne comprenais rien Ă cette Ă©criture dite "intuitive", hĂ©ritĂ©e de la mystique allemande Hildegarde de Bingen, du XIIe siĂšcle, et qu'on oppose d'ordinaire Ă l'"Ă©criture automatique" oĂč la main du mĂ©dium se met Ă Ă©crire toute seule, et souvent en phonĂ©tique, une suite de mots attachĂ©s ensemble, explique la divine secrĂ©taire. Mais tant que je n'obĂ©issais pas Ă la voix, je ne dormais pas. Pourtant, moi qui ai en horreur les charlatans, je m'en suis posĂ© des questions sur ces anges qui se prĂ©sentaient comme "ange de l'amour universel", "ange de la joie", "de la paix", ou "de la guĂ©rison"... et qui me soufflaient des messages d'amour, d'indulgence et de tolĂ©rance d'un style simpliste qui m'Ă©tonnait. Pourquoi des anges ? Et qu'est-ce que des anges ? Et puis je me suis rĂ©signĂ©e Ă ĂȘtre leur canal d'Ă©nergie. Et Ă transmettre cette Ă©nergie Ă ceux qui me la demandent dĂ©sormais. Car Ă force de travail, c'est-Ă -dire de quĂȘte de vide, de calme, les dons s'accroissent. Mais je suis persuadĂ©e de ne pas ĂȘtre une exception tout le monde peut communiquer avec l'invisible. Nos pensĂ©es peuvent tout. D'ailleurs, de plus en plus de gens, ici, me disent recevoir des messages. » Comme Patricia DarrĂ©, par exemple, de France Bleu Berry Sud, quand juste aprĂšs son accouchement, en 1995, elle s'est trouvĂ©e victime du syndrome de l'Ă©criture automatique » avec des morts en direct sous le stylo â cette journaliste fonceuse et pragmatique s'est pourtant crue atteinte de schizophrĂ©nie ou d'un baby blues psychotique ». Elle file chez un psychiatre de ChĂąteauroux chez qui, justement, le phĂ©nomĂšne se manifeste. Et la voilĂ qui Ă©crit malgrĂ© elle, sous l'emprise d'un parent mort du psy. Lequel dĂ©couvre Ă©berluĂ© sous sa plume des dĂ©tails inĂ©dits de sa vie de famille. Ăa n'a plus cessĂ©. Les morts se prĂ©sentent sans que je les appelle. Ou je peux aussi, Ă la demande de quelqu'un, chercher Ă communiquer avec l'un d'eux. Je me souviens d'une grand-mĂšre qu'on m'avait demandĂ© d'invoquer et qui m'avait rĂ©pondu de son au-delĂ "Mais ça va pas la tĂȘte, j'y crois pas Ă votre truc !" Un journaliste ami, qui bouclait un scĂ©nario sur Jeanne d'Arc, m'avait demandĂ© d'entrer en contact avec elle pour vĂ©rifier deux ou trois choses. Je la convie dans ma tĂȘte. Et je me retrouve face Ă une aristocrate au langage chĂątiĂ© qui me rĂ©vĂšle ĂȘtre la demi-sĆur de Charles VII, dressĂ©e depuis l'enfance Ă la guerre, et chargĂ©e, sous la dĂ©froque d'une bergĂšre, de faire basculer le peuple du cĂŽtĂ© du roi de France et non de celui du roi d'Angleterre. Ne riez pas. C'est tellement dingue. J'ai honte d'en parler. Et soyez sĂ»re que je ne cours pas aprĂšs ces manifestations qui pompent tant d'Ă©nergie, donnent soif ou faim ; mais si elles apaisent quelqu'un... Moi-mĂȘme, quand un mort se prĂ©sente, je ne retrouve mon calme qu'aprĂšs avoir "transmis". Ce que font mes dĂ©funts ? Tout ! Certains travaillent, d'autres cuisinent, construisent leur maison. Aucun ne me parle de Dieu. J'ai l'impression que notre esprit est si puissant qu'il continue sa route aprĂšs la mort comme il le souhaite. Je n'ai jamais cherchĂ© Ă monnayer mes pouvoirs, juste Ă rendre service. "L'argent tue le don", disait au XIXe siĂšcle l'initiateur du spiritisme en France, Allan Kardec. Quant Ă ma vie, elle a peu Ă peu changĂ©. Si le journalisme me maintient heureusement dans le rĂ©el, j'ai dĂ©couvert combien le rationnel et l'irrationnel Ă©taient imbriquĂ©s, complĂ©mentaires. Combien notre pensĂ©e Ă©tait puissante et pouvait soulever les montagnes. » âTous ceux qui ont le pouvoir de guĂ©rir peuvent aussi faire du mal. Un sorcier n'est jamais qu'un guĂ©risseur qui a fait son "coming out" dans le malâ. Ou des mauvais sorts. Et Patricia DarrĂ© d'Ă©voquer ce que tous feignent d'ignorer lĂ -bas ; par crainte, dit-elle, d'attirer sur soi le mal si l'on brise la loi du secret. Car en terre sorciĂšre, tout est question de flux et de reflux, d'onde mauvaise qui peut revenir en boomerang, de leveurs de sort qui soudain se changent en jeteurs de sort. Or ces derniers reviendraient nombreux, paraĂźt-il, en pleine vogue gothique. Et nombre d'habitants se croient envoĂ»tĂ©s pour un oui, pour un non. Tous ceux qui ont le pouvoir de guĂ©rir peuvent aussi faire du mal. Un sorcier n'est jamais qu'un guĂ©risseur qui a fait son "coming out" dans le mal. Il n'y a qu'Ă inverser les formules. » Elle dit ça crĂąnement, elle qui est une des rares Ă accepter de mettre Ă plat ses abracadabrantes aventures spirituelles. A l'hĂŽpital du Val-de-GrĂące, le professeur Bruno Duroux devrait bientĂŽt passer au scanner le cerveau de notre Berrichonne. Histoire de voir quelle anomalie ou hypertrophie façonne une tĂȘte de mĂ©dium. Paranormal MystĂšre Berry Partager Contribuer Sur le mĂȘme thĂšme Lejardin situĂ© dans le lieudit "Les Dietzs" (qui peut vouloir dire "Les Dieux") se trouve sur une colline de la commune de Morogues dans le Berry (Cher) entre Bourges et Sancerre, Humbligny et Morogues. La propriĂ©tĂ© estHalleBerry a dit souhaiter simplement une vie «normale» pour sa fille. L'actrice oscarisĂ©e avait espĂ©rĂ© dĂ©mĂ©nager en France avec sa fille de quatre ans, Nahla, et son fiancĂ©, l'acteur
Prime: 230 millions de Berry. Fisher Tiger, Homme-Poisson de la famille des Dorades et aventurier lĂ©gendaire, est le fondateur de l'Ă©quipage pirate du Soleil. Il a passĂ© une grande partie de sa jeunesse dans les quartiers des hommes-poissons, un quartier mal famĂ© de Ryugu oĂč il a gagnĂ© force et notoriĂ©tĂ©.